Si vous avez déjà pris un selfie et que vous vous êtes demandé à quoi il ressemblerait si Léonard de Vinci le peignait, vous avez de la chance. Grâce à la puissance de l’IA, vous pouvez transformer vos souvenirs en tableaux qui ressemblent aux coups de pinceau d’artistes peintres. Si de nombreuses plateformes vous offrent cette possibilité, toutes ne le font pas gratuitement. Dans cet article, nous allons voir quelques outils en ligne gratuits que vous pouvez utiliser pour convertir vos images en peintures.
Vous cherchez une solution en ligne pour convertir rapidement et facilement vos photos préférées en œuvres d’art ? Et gratuitement en plus ? Ne cherchez pas plus loin que Fotor.
L’outil Picture to Painting de Fotor vous permet de transformer vos images grâce à plus de 50 options de filtrage. Ces options comprennent des croquis, du pop art, de l’aquarelle, des peintures à l’huile, de l’art à la Van Gogh, et bien d’autres encore. Vous obtiendrez ainsi des photos haute définition qui vous donneront l’impression d’être un artiste de la Renaissance.
Vous n’avez pas besoin de vous inscrire pour accéder à ces fonctionnalités, mais vous devrez passer à Fotor Pro pour supprimer le filigrane. L’interface conviviale de Fotor en fait l’outil idéal pour les novices en matière d’édition de photos.
BgRem est un outil en ligne gratuit créé par Deelvin qui propose des convertisseurs texte-image ainsi que des outils photo-peinture.
Pour transformer vos photos en peintures, il vous suffit de glisser-déposer ou de télécharger votre photo dans l’éditeur Photo Into Painting. L’IA se charge ensuite de la remodeler dans différents styles d’art vintage et contemporain.
Pour obtenir des résultats optimaux, choisissez un style dans la section Portrait pour les photos de portrait, et dans la section Image pour les paysages sans sujet humain. Veillez également à ce que vos photos aient une résolution supérieure à 600 x 1000.
Comme la plupart des éditeurs de photos AI gratuits en ligne, vous trouverez presque tout ce dont vous avez besoin dans la version gratuite de BgRem. Mais si vous préférez la retouche photo sans limitations, il peut être intéressant de s’abonner.
AILab Tools est une plateforme d’IA gratuite qui propose un grand nombre d’outils d’édition d’images. C’est l’un des meilleurs générateurs d’art IA pour créer des œuvres d’art à partir de photos. Si vous souhaitez transformer vos photos en magnifiques peintures, vous pouvez utiliser son éditeur d’IA, PhotoPaint.
En un seul clic, l’éditeur transforme votre image dans le style de votre choix. Les dessins de type cartoon, les esquisses au crayon, les peintures à l’huile Kanagawa et les peintures à l’huile gothiques ne sont que quelques-unes des options disponibles. AILab Tools vous permet également de modifier les expressions faciales, les coiffures et de réaliser des portraits en 3D.
Vous devez vous connecter pour utiliser l’outil et vous recevrez cinq crédits par mois avec la version gratuite.
Al Gahaku est une excellente option si vous recherchez un outil gratuit capable de donner à vos photos l’aspect des peintures de la Renaissance du XVIe siècle. Il dispose d’une vaste bibliothèque d’œuvres d’art et d’une multitude de filtres qui peuvent donner l’impression que votre selfie a été peint par le grand Raphaël.
Le plus intéressant dans l’utilisation d’Al Gahaku, c’est que le processus est simplifié. Vous n’avez pas besoin d’être un pro de la retouche photo pour l’utiliser, il vous suffit de télécharger votre photo et de laisser Al Gahaku s’occuper de tout pour vous.
Picsart est un outil de conversion de photos en peintures très populaire, et ce pour une bonne raison : il s’agit d’une solution complète. Picsart combine l’édition de photos AI, des fonctions de masquage, des autocollants et une grande variété de filtres pour vous offrir une expérience de peinture amusante. En outre, il s’agit également d’un puissant éditeur de photos.
Au début, il peut être un peu difficile de s’y retrouver dans l’outil tant il y a de choses à faire. Néanmoins, le résultat final en vaut la peine. Vous avez le choix entre des options telles que l’aquarelle, le style cartoon et le pastel.
Bien que gratuit, vous devrez vous abonner pour accéder à des fonctionnalités premium telles que l’absence de publicité et l’accès illimité aux fonctionnalités AI.
Conclusion
Ces outils ont redéfini la créativité visuelle en vous permettant d’expérimenter différents styles artistiques. Leur accessibilité en fait des outils de premier choix pour transformer vos photos préférées en tableaux et œuvres d’art étonnants.
Nombre d’entre eux ne se contentent pas de transformer vos photos en peintures : vous pouvez effectuer d’autres tâches de retouche photo, comme modifier la densité des couleurs et effacer les parties indésirables d’une image.
Les pérégrinations de Kat dans le monde de Piwigo, de sa grande découverte en 2016 à ses nombreux albums et forks en tout genre... - Par Katryne.
Piwigo, je suis tombée dedans en 2016, quand Google a sabordé Picasa, pour promouvoir son service Google Photos. J'ai découvert alors la possibilité d'un album photo en ligne qui serait tout à moi, sur mon hébergement et sous licence libre : Piwigo. En fait, Piwigo fut une révélation : il a initié ma dégooglisation et dans la foulée, mon détachement de TOUS les réseaux sociaux. Piwigo m'a libérée et, comme Renaud l'a presque chanté, je suis maintenant un réseau social à moi toute seule. Et un ayatollah du logiciel libre.
Au départ, j’avais un peu d’appréhension, car jamais encore je n’avais créé de site web avec base de données : ceux que je pratiquais tournaient avec des fichiers texte ou du Sqlite et je faisais mes albums photos avec MiniGalNano de Seb Sauvage. Et puis, un jour, MiniGalNano n’a pas suivi l’évolution technologique des serveurs où j’hébergeais mes sites. Ce fut temporaire, le retard fut comblé rapidement. Mais entre temps, j’avais découvert Piwigo. De prime abord, j’eus l’impression d’un produit très technique, surtout destiné aux professionnels : des photographes qui présentaient leur créations sur fond noir, avec une foule de méta-données sur le matériel, les conditions de la prise de vue etc. Un peu austère, quoi. Pro, mais austère. Et puis, en explorant les sites des membres du forum, je me suis aperçue qu’il y avait autant d’usages Piwigo que d’utilisateurs.
Certains créaient des Carnets de voyage, avec autant de textes que d’images, lesquelles étaient géolocalisées sur de grandes cartes. D’autres un site pour un événement particulier (mariage, cousinade, festival …) que les participants pouvaient abonder. Un club de randonnée publiait les balades de chaque semaine, avec photos, commentaires, et tracés GPX, comme ici. Des artistes, peintres, céramistes, grapheurs, acteurs en faisaient leur dossier de presse (press-book in the text). Et puis, j’ai découvert que des organisations utilisaient Piwigo pour gérer leurs ressources iconographiques et faire leur promotion : offices de tourisme, villes, universités …
J’ai plongé dans Piwigo. En même temps pour mes usages familiaux et pour ceux de notre association d’histoire locale. Le premier Piwigo de l’association comporte désormais 4000 documents dont 500 pdf. Et le reste en photos. C’est devenu le centre de documentation historique du village. Et les documents sont utilisés sur les autres sites de l’association et ailleurs, bien sûr. Il a contribué à la notoriété du village. Un Piwigo spécial a été imaginé pour présenter 800 cartes postales anciennes de la vallée : descriptions, commentaires, géolocalisation et comparaison avant/après avec des photos d’aujourd’hui. Et comme Piwigo est relativement aisé à styler, son css est assorti à celui des autres sites.
Notre Piwigo familial raconte quelques voyages bien sûr. Mais c’est aussi maintenant le media de partage, au sein de notre grande famille, pour le contenu de tous nos vieux albums de photo. Vous savez bien, ces merveilles reliées de cuir avec des ferrures argentées qui remontent pour certaines à 1880 … et qui sont disséminées aux 4 coins de la France. Nous pensons que chacun des cousins est en droit de connaître toute l’histoire de la famille, même si les documents sont chez l’un ou chez l’autre. Et Piwigo va nous y aider.
Vous voyez bien que je ne suis pas de l'autre siècle, mais de celui d'avant encore...
Concrètement, comment fait-on ?
Outre des applications de tierce partie, Piwigo propose 2 systèmes différents de chargement des photos sur le site.
Avantages :
• Parfait pour les grandes galeries
• Convient pour le chargement de fichiers autres que photographiques
• Liberté dans la création de répertoires sur votre serveur
Inconvénients :
• Savoir préparer ses photos avant une publication pour le web
• Aucune flexibilité pour renommer/déplacer vos photos et albums
• Utilisation d'un logiciel de transfert FTP
• Obligation de synchroniser Piwigo avec vos publications
Avantages :
• Pas de logiciel supplémentaire à installer sur l’ordinateur
• Publication instantanée
• Toutes options disponibles pour modification, déplacement, renommage etc
• Téléversement de plusieurs images en une seule fois
Inconvénients :
• Ne permet pas d’uploader d’un coup une arborescence de répertoires
Moi, j’utilise le Piwigo uniquement depuis l’interface web : tout peut se faire via le web, je vous dis, dans jamais avoir à utiliser le FTP, sauf pour l’installation initiale. Et les sauvegardes, bien sûr.
• L’administration générale du site
• Le téléversement des items
• La modification en ligne des fichiers image : orientation, recadrage, renommage, remplacement, saisie de leur description et autres informations
• La mise à jour du core, des plugins et des thèmes
• la recherche, l’upload, l’installation, l’édition des plugins.
• La personnalisation sécurisée des fichiers du CMS, du css, des chaînes de langue via le plugin Local Files Editor. En effet une configuration locale est réalisée à partir de l’administration. Elle surchargera les fichiers originaux sans être impactée par les mises à jour du core, des plugins, des thèmes.
Piwigo bénéficie d’un excellent suivi technique, ce qui n'est pas si courant pour un logiciel libre, car son créateur Pierrick Legal, un Breton de Nantes qui a imaginé ce CMS il y a 20 ans, s’est entouré d’une belle équipe de développeurs et il en vit.
Comment peut-on vivre d’un logiciel libre ? En créant en parallèle un service d’installation hébergée de Piwigo avec assistance pour qui préfère se consacrer au contenu et ne pas s’embarrasser de la problématique technique. Au démarrage, il y avait surtout des clients amateurs, des particuliers, mais la proportion s’est nettement inversée au fil des années et la majorité de la clientèle du Piwigo hébergé est aujourd’hui constituée de professionnels et d’institutionnels.
Les forums français et anglais sont très animés, très réactifs, les solutions viennent autant des pros que des amateurs.
Si je voulais en faire l’effort, je pourrais presque n’utiliser que Piwigo pour ma présence sur le web. Ce demanderait juste un peu d’organisation, car il existe de nombreux moyens d’y publier aussi du texte : Descriptifs et commentaires bien sûr, mais aussi ces pages additionnelles que l’on peut associer à certains albums, et qui sont aussi accessibles par le menu. Et ce plugin de blog. Voyez cette page, qui vient en appui d'un album sur ce chalutier : Ducouëdic . On peut y faire une mise en page honorable, non ?
Je suis une passionnée, une fan de Piwigo, vous l'avez compris. Ce qui m'empêche pas mes quelques réticences, commentaires et critiques. Vous savez bien que j'ai toujours quelque chose à redire.
• Si le webmestre prévoit la possibilité de plusieurs tailles d'image, le site peut devenir très lourd et exploser le quota d’hébergement. Car Piwigo ne redimensionne pas l’image pour l’affichage : il crée de nouveaux fichiers dès qu'un format nouveau est demandé par un visiteur. Des fonctionnalités de purge sont prévues, mais il ne faut pas se laisser déborder.
• De récentes évolutions de Piwigo ont été axées sur l’apparence de l’administration pour du plus joli, mais, à mon sens, plus futile. Et cela a entraîné la disparition de fonctions bien pratiques. Et puis moi, le look côté admin, c’est pas ma priorité. Je souhaiterais que les évolutions futures mettent plus l'accent sur l'expérience utilisateur, côté public. Je sais bien que les geeks aiment travailler dans un environnement qui leur est agréable, mais quand on publie, c'est pour le public, non ? C'est lui qui doit être prioritaire.
Gestion des albums : bon, d'accord, c'est joli ...
• Il existe fort peu de thèmes adaptatifs, responsives, tous écrans, quoi.
• Le SEO et les normes W3C ne sont pas actuellement la priorité des développeurs. Parait que c'est un concept de web année 2000, pas adapté à un album photo ... Par exemple les titres Hn qui doivent structurer une page web sont laissés à la libre interprétation du créateur de thème. Qui s'en sert au petit bonheur la chance pour le style au lieu du fichier de css. Les Hn, c'est pour la structure, que diable et le css pour le style !!!
• La politique de référencement est axée sur le partage, par les réseaux sociaux, Et ça, c’est pas ma tasse de thé, mais je l'ai déjà dit... Enfin, chacun son truc, je suis pas sectaire.
• Piwigo est codé par une équipe française, mais son développement est en anglais, sa communication est prioritairement en anglais. Quand on cherche Piwigo, on atterrit sur le site en anglais, avec le lien "Piwigo existe aussi en français". Because, mondialisation oblige, la majorité de l'audience est anglophone. Du coup, les francophones font parfois figure de public de seconde zone, que l'on sert en second. Ce qui justifie ma (légère) collaboration comme traducteur : c'est d'anglais au français que je traduis chaînes de langue et éléments de communication. C'est un comble pour un produit franco-français. Enfin peut être un peu breton aussi, si l'on admet que Nantes se trouve en Bretagne. C'est pour ça qu'on y cause surtout grand-breton ?
J'essaye de participer un peu à l'évolution, dans les limites de mes capacités techniques qui sont, comment dire, ben oui, un peu limitées. J'y suis donc un peu traducteur, j'ai aussi accès au wiki, théoriquement pour relecture et correction. Et surtout, je campe littéralement sur les 2 forums, je mets mon grain de sel partout. J'explique ce que je veux faire, comment et pourquoi, et je demande de l'aide pour y parvenir. Avec une régularité de métronome, je remets sur le tapis mes requêtes, certains diront mes obsessions, espérant peut-être qu'elles seront un jour intégrées dans le développement. J'aide les autres aussi, avec mes mots de bécassine, car j'ai rarement le vocabulaire techno. J'ai même fait une fois un signalement sur le Github du Piwigo. Vu l'effort que ça m'a demandé, c'est dire si le détail exposé m'importait...
Quelques liens intéressants au passage ...
Une interview de Pierrick sur Framablog à l'occasion des 20 ans du projet cette année
Présentation de Piwigo par Piwigo
Le forum francophone
Le forum anglophone
crédit photo : Katryne
Cette application web de galerie photos, codée en PHP/MySQL, s’adresse aux particuliers, aux pros de la photographie et aux organisations. Je vais vous présenter ses différentes fonctionnalités de manière illustrée. Ainsi, vous pourrez vous faire une idée de son fonctionnement.
On retrouve la liste des différents albums, avec une première photo d’illustration – comme sur Google Photos. Si on adore le rangement, on peut même créer des sous-albums de sous-albums : la profondeur est illimitée. Par ailleurs, une même photo peut être associée à plusieurs albums.
Il est également possible de sélectionner plusieurs photos et d’appliquer des modifications de masse. Par exemple, changer le nom du photographe, ajouter des tags pour retrouver les photos plus facilement, ajouter celles-ci à un album, définir les coordonnées GPS de chaque photo…
On peut repérer nos photos d’une façon chronologique (c’est justement l’une des fonctionnalités que j’apprécie sur Google Photos). C’est parfois le plus simple lorsqu’on doit retrouver un visuel.
Il est possible de créer des groupes et des utilisateurs. On peut affecter à chacun un niveau de confidentialité, permettant de voir tel ou tel album uniquement. Les administrateurs et les webmasters sont les seuls à pouvoir gérer les photos et les groupes. Pour moi, la gestion des permissions de base dans Piwigo constitue le point faible du service. En effet, il n’y a pas de gestion poussée des rôles utilisateurs. Peut-être qu’une extension pourrait remédier à ce problème.
Une fonction que j’adore sur Piwigo – elle n’existe pas sur Google Photos : on peut afficher une carte du monde et visualiser tous les points de géolocalisation, qui représentent nos photos. C’est hyper sympa, on se rend compte du chemin parcouru et des régions visitées. Cette option n’est pas présente dans l’installation de base, il vous faudra un plugin.
On peut aussi visionner nos photos en plein écran sous forme de diaporama. C’est plutôt sympa.
Les visiteurs peuvent écrire des commentaires sous nos photos, les noter et recevoir une notification par mail lorsqu’on ajoute de nouvelles photos.
Pour vous faciliter la vie, Piwigo récupère toutes les méta-data de vos images : le temps d’ouverture de votre objectif au moment de la prise de la photo, la marque de l’appareil photo, etc.
Une API existe et vous permet de faire plein de choses. Par exemple, vous pouvez potentiellement synchroniser un dossier provenant d’ailleurs avec Piwigo, ou publier des photos depuis le célèbre logiciel Lightroom. Les possibilités sont infinies.
es développeurs adorent partager des projets comme celui-ci et y apporter leur contribution. Piwigo possède pas moins de 350 extensions… il y a de quoi faire ! Si vous souhaitez les découvrir, c’est par ici.
Si je vous ai déjà convaincu, tant mieux ! Mais si vous êtes encore hésitants, je peux vous dire que pas mal de monde l’utilisent déjà : entreprises et particuliers. Arles, la célèbre ville de la photo, utilise ce système qui existe depuis 2002. Pas mal d’années de développement, donc…
Si vous êtes intéressé, vous pouvez suivre ce petit tutoriel qui vous aidera à installer le système. Si vous avez la moindre question, les commentaires sont là pour ça !
Grâce à son IA de reconnaissance faciale, Google Photos peut maintenant reconnaître vos chiens ou chats parmi vos clichés
(CCM) — Voilà une excellente nouvelle pour toutes les personnes ayant un animal de compagnie ! Si vous avez une boule de poil à la maison, il y a de très fortes chance pour qu'une bonne partie de votre répertoire photo lui soit consacrée et Google l'a bien compris ! Car l'application Google Photos peut désormais reconnaître votre chien ou votre chat de la même façon qu'elle reconnait une personne.
Cette nouvelle fonctionnalité va regrouper toutes les photos de l'animal dans un seul et même dossier, comme Google Photos le fait déjà pour les personnes revenant le plus souvent dans vos clichés. Il est également possible d'attribuer un nom, ce qui fait que lorsque vous taperez le nom de votre chien ou votre chat - disons Félix et Brutus - dans Google Photos, l'application les retrouvera automatiquement. Google a de plus activé la recherche par noms de races de chiens et de chats, et même par émoji ! Mieux encore, l'Assistant Google sera capable de créer un petit film reprenant les photos de votre animal.
Si cette fonctionnalité peut paraître plutôt triviale (sauf bien sûr pour ceux qui adorent prendre des photos de leur chien), il faut quand même se rendre compte que l'IA de Google est désormais capable de distinguer un chien précis parmi d'autres... Ce qu'un être humain n'est pas forcément capable de faire. Sur son blog (lien en anglais), Google indique que cette nouvelle fonction est distribué dans la plupart des pays dès aujourd'hui, sur Android comme sur iOS.