Google gère environ 33.54% des adresses mail et Microsoft un peu plus que 30% [1]. Si vous recherchez une alternative européenne à Gmail ou Outlook qui est gratuite, sans publicité et qui respecte votre vie privée, vous êtes au bon endroit.
5 raisons de passer chez infomaniak pour vos e-mails
infomaniak est une entreprise indépendante qui appartient exclusivement à ses fondateurs et ses employés
les données sont gérées en Suisse dans des datacenters reconnus pour leur efficience énergétique
le service évolue en permanence et est entièrement développé en Suisse
un assistant permet de synchroniser les e-mails, contacts et rendez-vous sur tous ses appareils
infomaniak gère plus d’1 Mio d’adresses depuis plus de 25 ans. C’est fiable et les spams sont bien bloqués 🛡
Créez votre adresse e-mail infomaniak
Si vous recherchez une adresse e-mail gratuite pour remplacer Gmail, cliquez ici pour créer votre adresse @ik.me. Vous bénéficierez gratuitement de 20 Go de stockage pour vos e-mails ainsi que de 3 Go de stockage kDrive pour stocker vos photos et vos documents dans un Cloud sécurisé qui ne monétise pas vos données.
Pour créer une adresse du type prenom@votre-domaine.com, cliquez ici pour enregistrer ou transférer un nom de domaine avec une adresse e-mail incluse. Vous bénéficierez d’un espace de stockage illimité pour vos e-mails pour environ 10.- / an selon l’extension de domaine que vous choisirez (.fr .com .ch .be, etc.).
Pas besoin d’avertir tous vos contacts. Ils utiliseront automatiquement votre nouvelle adresse au bout d’un certain temps, car ils répondront à vos derniers messages envoyés depuis infomaniak 😎
Une fois votre nouveau compte créé, redirigez votre ancienne adresse chez infomaniak :
Allez sur gmail.com
Cliquez sur la roue dentée en haut à droite pour Voir tous les paramètres
Allez dans l’onglet Transfert et POP/IMAP
Cliquez sur le bouton Ajouter une adresse de transfert
Saisissez votre nouvelle adresse infomaniak
Renseignez le code de validation envoyé sur votre nouvelle adresse infomaniak
Cochez la case Transférer une copie des messages reçus
Vous êtes chez Hotmail, Outlook.com, Yahoo, Bluewin ou ProtonMail ? Suivez ce guide.
Félicitations ! Tous les messages envoyés à votre ancienne adresse Gmail seront désormais redirigés sur votre nouvelle adresse infomaniak.
Si vous le souhaitez, vous pouvez copier automatiquement tous les messages et labels de votre ancienne adresse Gmail sur votre nouvelle adresse infomaniak :
Allez sur workspace.infomaniak.com/syncimap
Choisissez Gmail dans la liste des fournisseurs
Renseignez votre adresse Gmail et son mot de passe (infomaniak ne stockera pas ces informations)
Suivez scrupuleusement ce guide pour débloquer Gmail :
Activez l’IMAP dans les paramètres de votre adresse Gmail
Créez un mot de passe d’application ou désactivez temporairement la double authentification
Autorisez l’accès aux applications moins sécurisées
Autorisez l’accès de votre ordinateur à votre compte Google
Renseignez votre nouvelle adresse infomaniak et son mot de passe
Lancez la copie, vous recevrez un e-mail de confirmation dès la fin du processus !
Il est possible de récupérer rapidement tout votre carnet d’adresses et vos rendez-vous Gmail chez infomaniak.
Voici comment exporter vos contacts Gmail :
Allez sur contacts.google.com
Dans la barre latérale gauche, cliquez sur Exporter
Choisissez le format vCard (pour les contacts iOS)
Voici comment exporter vos calendriers Gmail :
Allez sur calendar.google.com
Dans la barre latérale gauche, passez la souris sur le nom de votre agenda pour accéder aux Paramètres et partage
Cliquez sur le bouton Exporter l’agenda
Il suffit maintenant d’importer ces deux fichiers chez infomaniak 😎
Pour les contacts :
Allez sur contacts.infomaniak.com
Dans la barre latérale gauche, cliquez sur Options avancées > Importer
Choisissez le fichier contacts.vcf de Gmail, le carnet de destination et cliquez sur Lancer l’importation
Et pour les rendez-vous :
Allez sur calendar.infomaniak.com
Dans la barre latérale gauche, cliquez sur Actions sur les calendriers > Importer
Décompressez l’archive .zip de Gmail et sélectionnez le fichier ics
Choisissez le calendrier de destination et cliquez sur Lancer l’importation
C’est une bonne chose de faite ! Toutes vos données sont maintenant gérées en Suisse dans le respect de la vie privée 🔒
Il ne reste plus qu’à synchroniser votre messagerie infomaniak sur vos appareils (Windows, macOS, iOS, Android…) 😊
Cliquez ici pour démarrer l’assistant qui vous guidera étape par étape.
Vous pouvez communiquer sereinement
Ici, vos messages ne sont pas analysés pour afficher des publicités. Vos données sont stockées en Suisse au coeur de l’Europe. La formule ik.me gratuite est financée par nos services d’hébergement. Vous hésitez encore à faire le pas ? Faites-vous une idée en créant un compte depuis cette page.
Et n’oubliez pas d’en parler à la pause café : il est possible de quitter Google pour des solutions souveraines qui respecte la vie privée, l’environnement et qui créent des emplois au niveau local
Plaidoyer en faveur d’un logiciel de relations épistolaires électroniques, échanges sacrifiés au culte de l’instantanéité.
J’aime l’email. Je ne me lasse pas de m’émerveiller sur la beauté de ce système qui nous permet d’échanger par écrit, de manière décentralisée. D’entretenir des relations épistolaires dématérialisées à l’abri des regards (si l’on choisit bien son fournisseur). Je l’ai déjà dit et le redis.
Pourtant, l’indispensable email est régulièrement regardé de haut. Personne n’aime l’email. Il est technique, laborieux. Il est encombré de messages. Alors toute nouvelle plateforme nous attire, nous donne l’impression de pouvoir communiquer plus simplement qu’avec l’email.
Beaucoup trop d’utilisateurs sont noyés dans leurs emails. Ils postposent une réponse avant que celle-ci ne soit noyée dans un flux incessant de sollicitation. Entrainant, effet pervers, une insistance de l’expéditeur.
Désabusé, la tentation est grande de se tourner vers cette nouvelle plateforme aguichante. Tout semble plus simple. Il y’a moins de messages, ils sont plus clairs. La raison est toute simple : la plateforme est nouvelle, les échanges entre les utilisateurs sont peu nombreux. Dès le moment où cette plateforme sera devenue particulièrement populaire, votre boîte à messages se retrouvera noyée tout comme votre boîte à email. Tout au plus certaines plateformes s’évertuent à transformer vos boîtes en flux, de manière à vous retirer de la culpabilité, mais entrainant une perte d’informations encore plus importante.
C’est pour cela que l’email est magnifique. Après des décennies, il est toujours aussi utile, aussi indispensable. Nous pouvons imaginer un futur sans Google, un futur sans Facebook. Mais un futur sans email ?
L’email pourrait être merveilleux. Mais aucun client mail ne donne envie d’écrire des mails.
Je rêve d’un client mail qui serait un véritable logiciel d’écriture. Pas d’options et de fioriture. Pas de code HTML. Écrire un email comme on écrit une lettre. En mettant l’adresse du destinataire en dernier, comme on le fait pour une enveloppe.
Un logiciel d’écriture d’email qui nous aiderait à retrouver un contact avec sa correspondance plutôt qu’à permettre l’accomplissement d’une tâche mécanique. Un logiciel qui nous encouragerait à nous désabonner de tout ce qui n’est pas sollicité, qui marquerait des mails les correspondances en attente d’une réponse. Qui nous encouragerait à archiver un mail où à le marquer comme nécessitant une action plutôt qu’à le laisser moisir dans notre boîte aux lettres.
Bref, je rêve d’un client mail qui me redonne le plaisir d’interagir avec des personnes, pas avec des fils de discussions ou des onomatopées.
D’un autre côté, j’abhorre ces tentatives de classement automatique qui fleurissent, par exemple sur Gmail. Outre qu’elles augmentent le pouvoir de ces algorithmes, elles ne font que cacher le problème sans tenter d’y remédier. Si les mails doivent être triés comme « promotions » ou « notifications », c’est la plupart du temps que je n’avais pas besoin de les voir en premier lieu. Que ces emails n’auraient jamais dû être envoyés.
Enfin, un véritable logiciel de correspondance devrait abandonner cette notion de notification et de temps réel. Une fois par jour, comme le passage du facteur, les courriels seraient relevés, m’indiquant clairement mes interactions pour la journée.
De même, mes mails rédigés ne seraient pas envoyés avant une heure fixe du soir, me permettant de les modifier, de les corriger. Mieux, je devrais être forcé de passer en revue ce que ‘envoie, comme si je me rendais au bureau de poste.
En poussant le bouchon un peu plus loin, les mails envoyés pourraient prendre une durée aléatoire pour être remis. Un lecteur de mon blog a même imaginé que cette durée soit proportionnelle à la distance, comme si le courriel était remis à pied, à cheval ou en bateau.
Car l’immédiateté nous condamne à la solitude. Si un mail est envoyé, une réponse reçue instantanément, l’ubiquité du smartphone nous oblige presque à répondre immédiatement. Cela même au milieu d’un magasin ou d’une activité, sous peine d’oublier et de penser paraitre grossier.
La réponse à la réponse sera elle aussi immédiate et la conversation s’achèvera, les protagonistes comprenant que ce ping-pong en temps réel ne peut pas durer plus de quelques mots.
Paradoxalement, en créant l’email, nous avons détruit une fonctionnalité majeure des relations épistolaires : la possibilité pour chacune des parties de répondre quand l’envie lui prend et quand elle est disponible.
Jusqu’au 20e siècle, personne ne s’étonnait de ne pas recevoir de réponse à sa lettre pendant plusieurs jours voire pendant des semaines. Écrire une lettre de relance était donc un investissement en soi : il fallait se souvenir, garder l’envie et prendre le temps de le faire.
Cette temporisation a permis une explosion de la créativité et de la connaissance. De grands pans de l’histoire nous sont accessibles grâce aux relations épistolaires de l’époque. De nombreuses idées ont germé lors d’échanges de lettres. Pouvez-vous imaginer le 21e siècle vu par les yeux des historiens du futur à travers nos emails ?
Une lettre était lue, relue. Elle plantait une graine chez le destinataire qui méditait avant de prendre sa plume, parfois après plusieurs brouillons, pour rédiger une réponse.
Une réponse qui n’était pas paragraphe par paragraphe, mais bien une lettre à part entière. Une réponse rédigée en partant du principe que le lecteur ne se souvenait plus nécessairement des détails de la lettre initiale. Aujourd’hui, l’email nous sert à essentiellement à « organiser un call » pour discuter d’un sujet sur lequel personne n’a pris le temps de réfléchir.
Des parties d’échecs historiques se sont déroulées sur plusieurs années par lettres interposées. Pourrait-on imaginer la même chose avec l’email ? Difficilement. Les échecs se jouent désormais majoritairement en ligne en temps réel.
Pourtant, le protocole le permet. Il s’agit simplement d’un choix des concepteurs de logiciel d’avoir voulu mettre l’accent sur la rapidité, l’immédiateté, l’efficacité et la quantité.
Il ne faudrait pas grand-chose pour remettre au centre des échanges écrits la qualité dont nous avons cruellement besoin.
Nous utilisons le mail pour nous déresponsabiliser. Il y’a une action à faire, mais en répondant à l’email, je passe la patate chaude à quelqu’un d’autre. Répondre le plus rapidement, si possible avec une question, pour déférer le moment où quelqu’un devra prendre une décision. Tout cela au milieu d’un invraisemblable bruit publicitaire robotisé. Nous n’échangeons plus avec des humains, nous sommes noyés par le bruit des robots tout en tentant d’échanger avec des agents administratifs anonymes. Nous n’avons plus le temps de lire ni d’écrire, mais nous croyons avoir la pertinence de prendre des décisions rapides. Nous confondons, avec des conséquences dramatiques, efficience et rapidité.
Pour l’interaction humaine, nous nous sommes alors rabattus sur les chats. Leur format nous faisait penser à une conversation, leur conception nous empêche de gérer autrement qu’en répondant immédiatement.
Ce faisant, nous avons implicitement réduit l’interaction humaine à un échange court, bref, immédiat. Une brièveté et une rapidité émotive qui nous pousse à agrémenter chaque information d’un succédané d’émotion : l’émoji.
Nous en oublions la possibilité d’avoir des échanges lents, profonds, réfléchis.
Parfois, je rêve d’abandonner les clients mails et les messageries pour un véritable client de correspondances. De sortir de l’immédiateté du chat et de la froideur administrative du mail pour retrouver le plaisir des relations épistolaires.
Alors que Firefox demeure très populaire, son « petit frère » Thunderbird ne représente aujourd'hui que 0,5 % du marché des clients de messagerie électronique. Malgré cette audience confidentielle, la fondation Mozilla a décidé de changer son mode de fonctionnement avec, désormais, un système combinant dons et partenariats pour tenter de le monétiser et ainsi maintenir son développement.
Les années passent, et personne ou presque n'est parvenu à détrôner Outlook sur PC ou Mail sur Mac. Alors que la concurrence est fournie du côté des navigateurs avec Chrome, Firefox, Edge ou encore Safari et Opera, aucun logiciel n'a réussi à s'imposer comme une référence pour déboulonner Microsoft et Apple.
La preuve avec Thunderbird, le petit frère de Firefox. Depuis des années, Mozilla le maintient en vie malgré une audience confidentielle, et la fondation a décidé de lui offrir une dernière chance. Le client de messagerie va être transféré dans une filiale, MZLA Technologies Corporation, qui financera son développement tout travaillant à sa monétisation.
Concrètement, MZLA Technologies Corporation est chargée de poursuivre le projet dans sa forme gratuite et open source tout en consolidant sa viabilité à travers des projets de monétisation. « Cette initiative permettra au projet de collecter des revenus par le biais de partenariats et de dons non caritatifs, qui pourront à leur tour être utilisés pour couvrir les coûts de nouveaux produits et services », a déclaré Philipp Kewisch, chef de produit Mozilla. Il faut rappeler que le navigateur Firefox est administré sur le même modèle via la filiale Mozilla Corporation.
Jusqu'à présent, Thunderbird était principalement financé par les dons de sa communauté d'utilisateurs. Après une période critique entre 2015-2016 due au manque d'argent, Mozilla a finalement relancé le développement de son client de messagerie après un sursaut de générosité de ses usagers. « En fin de compte, ce passage à MZLA Technologies Corporation permet au projet Thunderbird d'embaucher plus facilement, d'agir plus rapidement et de poursuivre des idées qui n'étaient pas possibles auparavant », conclut Philipp Kewisch.
"""Aucune version mobile
Est-ce que pour autant cela sauvera Thunderbird ? Le vrai souci de ce « client de messagerie » est que les habitudes des internautes ont changé en 10 ans. D'abord, il y a eu le webmail qui s'est imposé avec Gmail, Hotmail et les autres services. Beaucoup d'internautes n'utilisent carrément plus de logiciels sur leur ordinateur. Autre élément marquant que Thunderbird n'a pas su accompagner : l'essor de la mobilité. Il n'existe toujours pas de version de Thunderbird pour iOS ou Android. C'est évidemment pénalisant. Surtout lorsqu'on regarde les chiffres du marché de l'e-mail et que l'on apprend que 42 % des utilisateurs consultent leurs messages d'abord sur mobile et que l'ordinateur, PC ou Mac, ne représente plus que 18 % (source : Litmus, juillet 2019).
Dans le détail des chiffres, on trouve tout en haut Gmail, un webmail disponible sur ordinateur et mobile, suivi de près par la version mobile de Mail. À eux deux, ils représentent près de 60 % du marché. Outlook, présent dans la suite Office, représente 9 %, et c'est essentiellement des professionnels. Thunderbird est tout en bas avec 0,5 % de part de marché. C'est dire si cette nouvelle orientation est un peu l'opération de la dernière chance.
Théoriquement, on ne peut transférer les mails de Google que vers une seule adresse. Si on en ajoute une deuxième, elle remplacera la première dans la configuration, même si elle reste dans un menu déroulant, et qu'on y a accès pour la reconfigurer comme adresse de transfert.
Mais Google nous précise qu'avec le système de filtre, on peut envoyer "certains" emails vers une autre adresse.
Donc, on construit un filtre (dans les paramètres de l'onglet Transfert de Gmail, le lien est au bas de la première section) en sélectionnant les mails avec le minimums de contraintes, voir aucune (indiquer seulement que le destinataire est l'adresse email et tous les emails reçus seront dans la sélection) et ... tada, on peut envoyer les mails vers une 2e adresse aussi.
Considéré comme un système ultime de protection d’un compte en ligne, l’authentification à double-facteur a pourtant été contournée par un groupe de hackers. Voici leur méthode.
Censé être robuste et imparable face aux tentatives de piratage, le système de double-authentification des comptes Google a pourtant été contourné par des hackers. Rappelons que la double-authentification, autrement appelée authentification à deux facteurs, ou encore validation en deux étapes chez Google, repose sur la classique saisie d’un identifiant et d’un mot de passe associée à un code à usage unique reçu le plus souvent par SMS pour accéder au compte. Un blindage supplémentaire qui semble impossible à contourner puisque seul l’utilisateur peut recevoir le code temporaire. Et pourtant, Amnesty International a relevé que plus d’un millier de comptes Gmail et Yahoo, protégés de cette façon ont été piratés.
Pour pouvoir accéder aux comptes protégés par ce système, la technique employée par les hackers ne requiert pas de connaissances en informatique pointues ou l’exploitation de vicieux malwares. Il s’agit d’une méthode phishing très élaborée dans laquelle un millier d’utilisateurs sont tombés. L’idée consiste à récupérer le code de double-authentification à usage unique et de l’utiliser avant son délai d’expiration.
Une méthode de phishing élaborée
Le groupe de pirates a donc convaincu ses cibles en envoyant un e-mail, suffisamment bien conçu pour que les victimes cliquent sur un lien renvoyant vers une fausse page d’identification. À partir de ce moment, l’utilisateur devait saisir ses identifiants et taper également son code. C’est alors que le hacker pouvait faire une demande de récupération de mot de passe et utiliser le code reçu pour accéder au compte et se l'accaparer. Il faut noter que ce phishing élaboré a été réalisé de façon très ciblée en visant précisément des journalistes ou des activistes au Moyen-Orient ou en Afrique du Nord. On peut supposer que le groupe de pirates est lié à un État. Dans le cas de Google, par exemple, rappelons qu’il existe deux autres procédés d’identifications que le code à chiffre reçu par SMS. Il est possible d’opter pour un système de validation par notification, ou encore en enregistrant l’ordinateur ou le mobile comme appareil autorisé.